vendredi 3 janvier 2014

Celle qui devint l'inconnue



Celle qui devint l’inconnue…


Dans l’angoisse perpétuelle tu me tins
Pleurer était mon lot du soir au matin
Puis j’ai compris que pour changer le destin
Je devais me débarrasser de toutes cendres
Que tu laissais dans mon cœur trop tendre.
Abominable menteuse, perverse narcissique
Schéma habituel de l’insatisfaite classique
Tu ne pouvais profiter de ta propre existence
Il te fallait détruire pour régner en puissance.
Heureusement pour moi, le revers de la médaille
A  le don de me préserver de toute cette pagaille.
Je ne peux plus perdre ce que j’ai  hélas perdu
Donc l’épée de Damoclès a totalement disparue.
Dans ta solitude du moment tu défies le temps
Mais lui est implacable et vers l’abîme tu descends.
Ayant tout détruit, aucune main ne te sera tendue
Car pour être pardonnée, il faudrait le mériter.
Ton moteur : la méchanceté, est ton unique défense
Comment pourrais-tu de nous obtenir la clémence ?




Dame mauve le 3 janvier 2014

2 commentaires:

  1. Comment illustrer le mot "poésie". Une dure question. Je vois que tu as opté pour la nature et je trouve que ton logo est très beau ainsi. Pour ma part, restant fidèle à la poésie japonaise, j'ai opté pour un côté plus "Zen" avec une photo prise à Queuleu, d'une devanture de maison, dont le propriétaire a magnifiquement reproduit cet esprit de calme et de paix.

    Pour le texte, même si il représente très bien le côté obscur de la personne décrite. (Tu vas encore avoir des coups de fil et des mails).

    Gros bisous à vous deux.

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    1. Je ne crois pas. Mais si c'était le cas, je m'en foutrais de façon monumentale car comme d'habitude le texte serait interprété par des personnes non concernées. La poésie est libre.... Bisous

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